Damiani, Shurik’n & Faf Larage – Orochi

Sébastien Damiani a composé une BO originale dont les mélodies ont été samplées par le célèbre rappeur et beatmaker Faf Larage  : « J’ai pris le pari de composer une BO orchestrale assez épique, en osmose avec le film et son histoire, en y incorporant des prods hip-hop que Faf vient de produire, en samplant mes compositions. C’est Shurik’n (rappeur du groupe IAM) qui sera le MC sur ce film, Faf jouant le rôle du Benshi. »  Sébastien Damiani. 

La musique du film a été mixée par Lee Limice au studio Heartsoundsmusic

Événement festival Sound of Silent

Ciné-concert Événement
Rencontre

« Tous ceux qui portent le nom de méchants ne sont pas vraiment des hommes mauvais. Tous ceux qui sont respectés comme des hommes nobles ne sont pas dignes de ce nom. Nombreux sont ceux qui portent un faux masque de bienveillance pour cacher leur trahison et la méchanceté de leur vrai moi.»
Heisaburo Kuritomi, interprété par Bandō Tsumasaburō, est un noble samouraï qui suit le Bushido, les enseignements de son maître Eizan. Il est fidèle à son véritable amour. Mais sa naïveté et son tempérament vif conduisent finalement Heisaburo à emprunter le chemin de la marginalité afin de survivre dans un monde qui lui reste hostile, faisant de lui un ronin.

 

Orochi est une révolution dans le genre muet du chanbara, genre cinématographique et théâtral japonais de bataille de sabres. À cette époque, les scènes de combat de chanbara étaient caractérisées par un style kabuki qui les rendait plus proches de la danse qu’aux vrais combats, alors que les interprètes utilisaient des expressions faciales exagérées et des poses guindées lors des combats à l’épée. Dans Orochi, le réalisateur Futagawa Buntarō et l’acteur Bandō Tsumasaburō (qui ont déjà travaillé ensemble dans Backward Flow en 1924) créent des scènes d’action plus réalistes qu’auparavant en les filmant en accéléré. « Non seulement la performance de Bandō était beaucoup plus fidèle à la réalité, mais l’histoire, écrite par le collaborateur de longue date de Bandō, Rokuhei Susukita, était révolutionnaire dans sa vision pessimiste du monde écrit » Chris Magee, Orochi : Critique, « JfilmPow-Wow« . « Bandō a apporté un nouveau naturel et une nouvelle férocité au cinéma japonais, ainsi qu’un style de combat très individuel et beaucoup plus réaliste. Non seulement Bandō a changé la représentation à l’écran du samouraï, mais il a également révolutionné le rôle de l’acteur dans les coulisses. » (idem)

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